Chiro Centre Verdun
La chiropratique,
c’est ajuster des vertèbres,
c’est étirer des muscles,
c’est traiter les hernies discales, les torticolis, les sciatiques,
et c’est aussi…
communiquer avec des gens.
Chiropratique traditionnelle et décompression vertébrale
Des solutions pour les maux de dos!
Dr Louis Riendeau, chiropraticien
Le Dr Louis Riendeau, chiropraticien, a obtenu son doctorat en chiropratique de l’Université du Québec à Trois-Rivières en 1999. En plus des ajustements chiropratiques traditionnels, il utilise la décompression vertébrale et différents types d’étirements musculaires. Son mot d’ordre est simple : obtenir des résultats.
Apprenez-en plus sur les conditions traitables…
Principal motif de consultation en chiropratique, les douleurs lombaires sont très fréquentes. La colonne lombaire est composée de cinq vertèbres et de cinq disques intervertébraux. Que ce soit dû à un problème de disque, de facettes articulaires ou de muscles, la chiropratique vise à rétablir une fonction normale et éliminer les douleurs. L’entorse lombaire peut apparaître subitement et empêcher la personne de bouger. Puisqu’elles ont tendance à récidiver, il est préférable de ne pas attendre pour se faire soigner.
Le cou est composé de sept vertèbres et six disques intervertébraux. Que ce soit dû à un problème de posture ou à un effort physique particulier, le rôle du chiropraticien est de déterminer la cause exacte du problème et rétablir la mobilité cervicale. Les ajustements chiropratiques aident à retrouver le mouvement vertébral normal et à diminuer les tensions musculaires associées au torticolis.
Le disque intervertébral est formé du noyau pulpeux, au centre, et de l’anneau fibreux, en périphérie. Le rôle du disque intervertébral est de servir d’amortisseur, de ligament, et de pivot. Lors d’une hernie discale, le noyau tente de fuir par une déchirure dans le disque. Que ce soit au niveau cervical ou lombaire, la pression exercée par une hernie sur les nerfs avoisinants peut engendrer une douleur et des irradiations intolérables.
Le nerf sciatique est le plus long et le plus volumineux des nerfs humains. Les douleurs sciatiques sont plus souvent causées par l’irritation d’une racine nerveuse, à la sortie de la colonne vertébrale. Il y a deux types de sciatalgie : radiculaire ou non radiculaire. Que ce soit par compression ou par l’irritation chimique d’une racine, la sciatalgie peut être traitée par la décompression vertébrale.
La discopathie dégénérative est un processus de détérioration progressive du disque intervertébral. Le disque intervertébral perd son principal apport sanguin dès les dix premières années de notre vie. Limité en nourriture, le disque se dégrade et perd en efficacité pour supporter le poids et les mouvements du corps. Les résultats de la discopathie dégénérative sont : hernie discale, hypertrophie des facettes vertébrales, sténose latérale, sténose centrale, déchirure interne du disque…
Le tendon est l’extrémité d’un muscle et la bourse est un coussin qui minimise le frottement lors du mouvement. Les mouvements répétitifs sont une cause fréquente de tendinite et de bursite. La tendinite de la coiffe des rotateurs et les épicondylites sont parmi les affections tendineuses les plus fréquentes. La majorité des désordres aux muscles, tendons et bourses peuvent être traitées par des techniques spécialisées d’étirements.
La petite histoire du Chiro Centre Verdun
Les débuts de la chiropratique
Le mot chiropratique dérive du mot grec kheir et veut simplement dire : main. Le fondateur de la chiropratique, Daniel David Palmer, n’aurait pu trouver mieux ; la chiropratique est d’abord et avant tout reliée au sens du toucher. En 1895, alors qu’il s’interroge et expérimente différentes approches pour améliorer la santé de l’être humain, il est fortement influencé par la tradition des bonesetters américains, eux-mêmes les légataires d’une tradition de manipulations articulaires qui remonte à l’origine de l’humanité.
Avec ses quelque cent vingt-cinq ans d’âge, la chiropratique est une profession jeune en constante évolution. Même si le fonctionnement optimal du système nerveux a toujours été au cœur de ses préoccupations, la chiropratique a surtout établi sa marque pour la qualité de ses soins au niveau du dos. Les dissensions ont été fortes au travers la profession, mais la chiropratique a su survivre et croître au travers les décennies. Elle est aujourd’hui l’approche de santé numéro un après la méthode médicale traditionnelle. Sans médicaments, sans chirurgie, la chiropratique a su faire son chemin, naturellement, au fil du dernier siècle…
À la limite de la légalité lors des premières années de son existence, la chiropratique n’a jamais cessé de s’améliorer et de se questionner sur les meilleures façons d’optimiser la santé. Sous l’égide du Dr John Nugent, un héros obscur de la profession, la formation des chiropraticiens s’allonge et prend du galon vers 1950. Avec la fin de la deuxième guerre mondiale, les connaissances scientifiques explosent dans toutes les sphères et la chiropratique doit suivre. Désormais, les étudiants sont soumis à des connaissances scientifiques strictes, les techniques sont standardisées, et le public n’en est que mieux servi.
Formation universitaire et ordre des chiropraticiens du Québec
Présents depuis longtemps au Québec, c’est lors de la naissance de l’Ordre des chiropraticiens du Québec, en 1973, que les chiropraticiens québécois obtiennent la reconnaissance officielle. Depuis lors, il est obligatoire pour chaque chiropraticien d’être membre de l’Ordre et de se soumettre à ses règlements.
Autrefois obligés de s’exiler aux États-Unis ou en Ontario pour recevoir leur formation, les étudiants en chiropratique peuvent depuis 1993 suivre leurs cours en français à l’Université du Québec à Trois-Rivières. L’UQTR est une des deux seules écoles de chiropratique au Canada, l’autre étant le Canadian Memorial Chiropractic College (CMCC) dans la région de Toronto.
Pour obtenir leur diplôme, les étudiants doivent d’abord réussir un doctorat de premier cycle. Onze sessions réparties sur cinq années d’étude sont nécessaires pour réussir les 245 crédits universitaires de leur formation. L’anatomie, la pathologie, la biomécanique et les cours techniques sont à l’avant-plan pendant les premières années. Un internat clinique de dix-huit mois vient ensuite parfaire leur apprentissage. Après l’obtention de leur diplôme, les chiropraticiens doivent réussir l’examen de leur ordre professionnel pour être admis et obtenir leur droit de pratique.
Le Dr Louis Riendeau, chiropraticien
Reçu par l’Ordre des chiropraticiens du Québec en 1999, le Dr Louis Riendeau, chiropraticien décide de s’installer sur l’île de Montréal et de commencer à pratiquer à Verdun. Le Chiro Centre Verdun est en opération depuis 1964, mais son fondateur sent l’appel de la retraite. Après un an et demi de partenariat, le Dr Riendeau prend les rênes de la clinique.
Pendant les premières années de sa pratique, le Dr Riendeau utilise surtout la technique traditionnelle chiropratique pour traiter ses patients. La technique traditionnelle, dite diversifiée, est en fait un amalgame des ajustements chiropratiques les plus fréquents. Il s’agit de manipulations de haute vélocité et de faible amplitude visant à rétablir l’équilibre articulaire. Pour le public, cette technique est surtout reconnaissable à ses cavitations, c’est-à-dire ses craquements.
Au fil des ans, le Dr Riendeau gagne en expérience et croit bon d’ajouter des outils à son éventail thérapeutique. Il s’intéresse aux blessures myofasciales et incorpore dans sa pratique les procédures d’étirements spécifiques de type Active Release Technique. Mais challengé par la ténacité et la complexité de certains maux de dos, il poursuit sa formation et s’intéresse de plus en plus aux blessures discales et à la décompression vertébrale.
La décompression vertébrale Cox
C’est lors d’un séminaire à Fort Wayne en Indiana que le Dr Riendeau découvre la technique Cox. Pour lui, il s’agit d’une révélation. Tous les chiropraticiens ont entendu parler de la technique, tous les chiropraticiens connaissent la table Cox de réputation, mais dans les faits, bien peu de chiropraticiens connaissent réellement cette approche. La technique Cox est en réalité bien plus qu’une technique : il s’agit d’un système complet de traitement basé sur les connaissances scientifiques modernes. L’évaluation initiale, le diagnostic, le traitement, les exercices, l’éducation pertinente pour le patient, rien n’est laissé au hasard.
Même si les blessures discales ne sont pas l’unique cause des maux de dos, il devient évident pour le Dr Riendeau que le traitement de la dégénérescence discale est la voie à suivre pour obtenir les meilleurs résultats. Après des investissements importants pour l’achat d’équipement, après plusieurs séminaires de formation aux États-Unis, il devient essentiellement un chiropraticien de type Cox. Il s’agit d’un changement majeur, mais les résultats sont au rendez-vous et la réponse des patients est enthousiaste.
Le Chiro Centre Verdun
Porté par la vague de changement, la clinique déménage en 2011. D’un sous-sol de la rue de l’Église, le Chiro Centre Verdun passe à la rue Wellington. Désormais situés au rez-de-chaussée de l’artère principale de Verdun, les nouveaux locaux sont neufs, modernes et entièrement aménagés pour répondre aux besoins des patients.
La chiropratique est une profession en évolution, et il en va de même pour le Dr Louis Riendeau. Toujours à l’affût des nouvelles techniques, il continue sa formation pour mieux servir ses patients. Les maux de dos sont complexes, les désordres musculo-squelettiques sont complexes, et la meilleure façon de les combattre est de ne jamais arrêter d’apprendre.